René Steinke: C’est pour moi le premier rôle principal dans une série et bien sûr, c’est une expérience passionnante que de pouvoir créer un personnage pendant une longue période et pas seulement après 8 ou 9 jours de tournage. En ce qui concerne Erdogan, c’est pour moi une grande expérience de pouvoir jouer avec lui. Nous nous amusons beaucoup et je crois que ça se voit aussi.
Question: Vous donne-t-on carte blanche sur certaines choses lorsque vous jouez ensemble ?
René Steinke: On nous laisse beaucoup de libertés dans les dialogues. Mais j’ai également déjà connu d’autres situations où l’on veille avec beaucoup d’attention à ce que nos paroles se trouvent bien dans le scénario. Mais Erdogan et moi, nous nous débrouillons probablement pas si mal et c’est pourquoi ils nous donnent des libertés.
René Steinke: En tant qu’acteur, on laisse des vidéos pour faire notre publicité, partout dans les studios de casting. Lorsqu’on a de la chance, on est pris en considération et on peut se présenter. On joue des scènes, dans le cas de Cobra 11 avec le futur partenaire, c’est-à-dire Erdogan Atalay et si on a encore plus de chance, on a le rôle.
Question: As-tu déjà joué auparavant dans des séries d’action ?
René Steinke: Non, Cobra 11 est ma première série d’action. Jusqu’à maintenant, j’étais la plupart du temps recruté pour jouer un infirmier ou d’autres personnages de ce genre.
René Steinke: Oui car cela me fait vachement plaisir de pouvoir faire des choses que l’on ne peut pas faire d’habitude. Nous pouvons voler dans des hélicoptères et faire des tours de jet-ski. Nous avons couru sur la glace de l’arène de Cologne et avons renversé des joueurs de hockey sur glace. On ne vit ces choses-là nulle part ailleurs.
René Steinke: Alors, Semir est celui qui réfléchit toujours en premier et qui ensuite fonce à toute allure. Moi, je fonce tout de suite et me demande après si c’était la bonne marche à suivre. Donc, nous courons tous les deux – mais pas pour la même raison.